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favofleur
Ma grand-mère donnait à sa petite soeur une larme de cognac... Elle dormait très bien.
Zarathoustra | 11/16/2009
Et elle se réveillait avec mal au crâne ^^
Darck Crystale | 11/16/2009
Je ne pense pas, c'était seulement une goutte et ça calmait le mal de dents.
Zarathoustra | 11/17/2009
et c'est comme ça qu'on devient alcoolique...
ptik you | 11/17/2009
"ça calmait le mal de dents"
Ou ça les faisaient tomber ^^
Longtemps petite, j'ai eu droit à la tisane le soir pour dormir, mais j'aime plus ça maintenant.
Darck Crystale | 11/17/2009
ptik you, tu m'enlèves les mots de la bouche!

autrefois nos arrière-grand-mère croyaient bien faire en mettant un peu de gnole dans les biberons ou en donnant quelques gouttes de schnaps, calva ou autre aux bébés

1) ça fait très longtemps et on n'avait pas les mêmes façons ni de soigner, ni d'éduquer
2) l'alcool était réputé pour protéger contre les microbes par exemple lorsque les mesures d'asseptie étaient difficilement pratiquables
3) c'est en effet vrai que lorsque un bébé est groguy par l'alcool, il peut en effet sembler moins souffrir, à condition qu'il ne sombre pas en coma éthylique

l'effet de la gougoutte dans le bibi était assez dévastateur, rendant les bébés accros à la "drogue"
dans ce temps là les eaux étaient moins potables et salubres que maintenant en maints endroits et on buvait fréquemment du vin ou de la piquette aux repas, adultes comme enfants, surtout dans les milieux vinicoles, les descendants de ces enfants, je les ai bien connus!
avec pour effet entre autre des difficultés comportementales notoires et des fragilités psychologiques.

Zarathoustra, je pensais lancer ta remarque sous forme humoristique au milieu de mon exposé qui est pour jeudi, pour détendre l'atmosphère et voir un peu les réactions, avant de repartir sur un thème plus "costaud"!!! par exemple: l'enfant qui frappe sa mère (ou son père, je l'ai vu!)
fleurdatlas | 11/17/2009
C'était en réalité de l'humour mais aussi un fait véridique.

Par contre, je confirme que le fort est très efficace pour un mal de dent en petite quantité ( moins d'une once et demi).

Je suis insensible à la codéine et tout les dérivés de la cocaïne utiliser médicalement. (historique génétique dans la famille) La dentiste est incapable de me geler. Enfin sans utiliser des drogues très puissantes et ayant des effets très peux recommandable.
Zarathoustra | 11/18/2009
Ecouter les pleurs

Quand un enfant pleure, le réflexe de son entourage aimant est de le prendre pour le calmer. Si c'est beaucoup mieux que de ne pas le prendre, c'est moins bien que de l'entendre. Son pleur est l'expression d'un ressenti avec le seul langage à sa disposition à ce moment de sa vie.

Il faut apprendre à écouter un pleur comme un langage, comme une conversation et non pas comme quelque chose qu'il faut arrêter! Imaginez qu'à chaque fois que vous avez quelque chose à dire et que vous commencez à parler, une âme charitable vienne... pour vous aider à vous taire! Même fait gentiment... c'est insupportable!

Un bébé dont on écoute le pleur s'apaise plus vite qu'un bébé qu'on essaie de calmer.

http://www.maieusthesie.com/chemin_application_familiale/famil_4.htm


pourquoi je signale ça dans cette note sur le sommeil des enfants?

rien de plus énervant pour un parent fatigué par sa dure journée de labeur à l'extérieur et de labeur parental que d'entendre ses enfants geindre, gémir, pleurer, brailler la nuit!
rien de plus énervant pour l'un des deux (souvent la femme) que de voir son conjoint se retourner en maugréant et ronflant à moitié, lui laissant comprendre que c'est à ELLE encore d'y aller
et rien de plus énervant pour le conjoint d'entendre l'insistance de l'autre "c'est à toi d'y aller!"

dans ces cas là, quelque soit l'âge de l'enfant: bébé ou plus grand, quand c'est la dizième fois qu'on est tiré du lit dans la nuit, on "voit rouge" facilement!
et même en étant pacifique, on aurait tendance à "ce que ça pleure au moins pour quelque chose!"

mais, pour m'y être laissée prendre, je sais qu'en écoutant les pleurs ou les cris d'un enfant, en particulier le sien, on peut arriver à discerner le caprice de la réelle souffrance, qui est souvent physique: perçage de dents, otite, frayeurs consécutives à des cauchemars répétitifs, à un vécu stressant récent ou à l'angoisse de vécus stressants le jour suivant, des maux de ventre (gastro), de fortes fièvres, etc...
si l'observation et l'écoute des pleurs de vos enfants vous entraine à trouver les causes de leurs pleurs, et à les supprimer ou y faire face, les pleurs cesseront, nul besoin de se fâcher, menacer, ou frapper! bien entendu.
fleurdatlas | 11/24/2009
une référence pour comprendre les PLEURS de vos enfants:
http://www.webdlambert.com/pleurs.html

deux reférences pour comprendre les peurs (nocturnes) des enfants et réagir convenablement
http://www.webdlambert.com/cauchemar.html
et
http://www.webdlambert.com/peurs.html
fleurdatlas | 11/24/2009
pour les tout petit bébés et ce qui concerne leur sommeil, les conseils en cas de pleurs, voir cette référence et pages suivantes:
http://ura1195-6.univ-lyon1.fr...om/q8.html

et plus généralement pour tout ce qui concerne les bébés et leur développement:
http://www.webdlambert.com/dossier-sommeil.html

le développement de l'enfant:
http://www.webdlambert.com/developpement-enfant.html
fleurdatlas | 11/24/2009
je recopie ces différents éléments trouvés
sur le site: http://www.webdlambert.com/

"L’enfant découvre énormément de nouvelles choses dans ses premières années de vie ; apprendre à marcher, à partager, à gérer sa colère, à être plus autonome, et bien d’autres notions encore. La nuit sert à “digérer” ce que l’on a acquis pendant le jour. Bien sûr, des événements familiaux difficiles peuvent influencer le sommeil de l’enfant. Ce que l’enfant a fait avant de se coucher est aussi très important (lecture, collation, télévision). Cependant les terreurs nocturnes peuvent être parfois associées à des causes plus physiques comme la croissance, la digestion, la maladie, etc. Enfin, les habitudes de sommeil bonnes ou mauvaises influencent grandement le reste de la nuit."

"L’enfant a besoin d’une routine, de points de repère et d’habitudes qui l’amènent à se détendre et à s’abandonner au sommeil, en plus d’éviter les repas trop lourds ou trop tardifs qui, en activant la digestion peuvent occasionner cauchemars et terreurs nocturnes. Par contre, un verre de lait peut constituer une saine habitude préalable au coucher, comme le mentionne Philippe Regard : “Dans le lait il y a un acide aminé qui est précurseur d’une hormone du sommeil…”

L’enfant doit apprendre à s’endormir seul. Un animal de peluche ou une petite couverture (communément appelée doudou) pourront parfois l’aider. L’enfant a besoin d’un rituel qui le prépare à passer une bonne nuit : Berceuses, câlins, massages, histoires … Pour rassurer votre enfant vous pouvez laisser une lampe allumée et la porte entrouverte. Essayez de toujours utiliser la même formule de bonne nuit. Soyez doux mais clair dans le message formulé, par exemple : “Bonne nuit mon trésor, fait de beaux rêves, à demain matin”.

Il est aussi très important de coucher l’enfant à des heures régulières le soir ainsi que lors des siestes dans la journée, si l’enfant en ressent encore le besoin. Réveiller l’enfant à des heures régulières est aussi très important.

Il faut retenir que tout ce qui n’est pas conforme aux habitudes avant le sommeil de l’enfant viendra changer la qualité de celui-ci. N’oubliez pas que c’est plus facile de donner une bonne habitude que d’essayer d’en éliminer une mauvaise.

Voici quelques interventions pour contrer les mauvais rêves. Si votre enfant a moins de 2 ans, vous pouvez lui dire doucement et simplement, le matin suivant le rêve, que vous êtes là, que tout va bien et qu’il ne risque rien. Par contre si votre enfant est plus âgé, une bonne façon de l’aider serait d’acter avec lui, de façon simple, son rêve, d’en faire un jeu et d’en rire.

Ne vous perdez surtout pas en long discours que l’enfant comprendra comme une réprimande. Le jeu et le rire seront plus bénéfiques.

En ce qui a trait aux terreurs nocturnes, vous devez surtout ne pas en reparler avec l’enfant. Ne lui demandez même pas s’il en a gardé un souvenir. Faites une exception à cette règle seulement si l’enfant s’est réveillé pendant sa terreur nocturne. Il serait bon à ce moment là d’expliquer à l’enfant les raisons physiques qui provoquent ce trouble pour ne pas qu’il ressente une perte de contrôle de lui-même, se croit au bord de la folie ou ressente de la culpabilité. "

ce sont quelques extraits, pour bien comprendre il faut lire l'ensemble de l'article:
http://www.webdlambert.com/cauchemars.html

et sur:
http://www.webdlambert.com/cauchemar.html
déjà cité deux commentaires plus haut

Que peuvent vouloir dire les troubles de sommeil?

Les jeunes enfants ne parlent pas autant de leurs émotions que les enfants plus âgés. Voici quelques-unes des façons qu'ont les enfants d'exprimer leurs émotions :
o Pleurs, pleurnicheries
o Pipi au lit
o Besoin de sucer leur pouce, besoin d'être pris
o Besoin de s'agripper aux personnes qui s'occupent d'eux
o Maux de ventre, maux de tête
o Isolement
o Regard éteint, dépourvu d'émotions
o Troubles alimentaires
o Cauchemars, difficulté à dormir
o Mauvaise humeur - Accès de colère - Entêtement
o Peur de la noirceur
o Agitation

Pendant et après un événement stressant, les problèmes à l'heure du coucher comptent parmi les plus fréquemment signalés par les parents. Il est possible que les enfants :

o Refusent d'aller seuls dans leur chambre pour dormir
o Se réveillent effrayés, en pleurant ou en tremblant de peur
o Insistent, une fois réveillés, pour coucher avec leurs parents ou un autre membre de la famille, ou tout simplement pour avoir quelqu'un auprès d'eux
o Aient peur du noir, des « monstres » ou des animaux


Quelques « trucs de psy » pour favoriser le sommeil

* Passez plus de temps avec les enfants lorsqu'ils sont éveillés. Cela leur permettra de se sentir plus en sécurité la nuit.
* Encouragez vos enfants à faire de l'exercice et à participer à des jeux vigoureux afin de leur permettre de réduire leur anxiété et d'épuiser leurs surplus d'énergie. La participation à de telles activités le jour favorisera un meilleur sommeil la nuit.
* Établissez un « rituel » réconfortant à l'heure du coucher. Un bain, des jeux paisibles, une histoire, une berceuse, un jouet ou un objet favori sont autant de moyens qui contribuent aux sentiments de sécurité, de confort et de bien-être d'un enfant. Voilà où la berceuse « Doucement », dont je vous parlerai bientôt, pourrait vous venir en aide!
* Prenez le temps d'écouter. L'heure du coucher est souvent un temps privilégié où les enfants posent des questions et partagent leurs craintes. C'est aussi le moment idéal pour les rassurer.


Si un enfant se réveille effrayé

* Allez le réconforter immédiatement. Lorsque vous entrez dans la chambre, évitez d'allumer les lumières ou de parler fort.
* Reconnaissez sa peur. S'il a fait un mauvais rêve, laissez-le vous raconter son rêve et prenez le temps de l'écouter sans l'interrompre.
* Ne niez pas l'existence de sa peur en lui disant : « Tu n'as pas à avoir peur ». Au contraire, soyez réceptif et compréhensif et amenez l'enfant à parler de sa peur. Cela pourrait l'aider à faire la différence entre le réel et l'imaginaire.
* Rassurez l'enfant en lui rappelant que d'autres sont tout près, qu'il est en sécurité. Vous voudrez peut-être rester près de lui jusqu'à ce qu'il se rendorme.


Source : http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/oes-bsu-02/child_f.html, page consultée en décembre 2005.

Finalement, le sommeil doit être préparé par un contexte affectif et environnemental adéquat qui permette de faire désirer à l’enfant le moment de la sieste et du coucher : « il faut enfin que l’adulte aide l’enfant à aimer ce moment très agréable qu’est l’endormissement . »

Source : http://www.sommeil.univ-lyon1.fr/articles/cfes/sante/ecolier.html
fleurdatlas | 11/24/2009
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